Essai Alfa Romeo MiTo phase 3 : 18 mois et 30 000 km, montez à bord pour un bilan !

L’Alfa Romeo MiTo est sortie en 2008 et s’apprête à tirer sa révérence dans quelques mois, après 10 ans de carrière. Un véhicule qui aura marqué les esprits par son look en particulier. Mon compagnon et moi en possédons nous-mêmes une.

L’occasion de vous livrer un bilan sous forme d’un reportage photos avant que la petite puce italienne ne tire sa révérence…

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Genèse d’un coup de foudre

La MiTo, pour moi, c’est une citadine sensuelle et désirable, dotée d’un coup de crayon comme seuls les Italiens le maîtrisent. Pour mon ami, elle n’était qu’une voiture parmi d’autres. Je suis passionné d’italiennes, il n’est attaché à aucune marque en particulier. D’ailleurs, il n’était et n’est toujours pas fan de la version pré-restylée avec sa calandre à barrettes chromées ni de certains accessoires comme le cerclage noir des feux avant ou les jantes sport.

En décembre 2016, alors que mon ami cherche à changer de véhicule (une Citroën Saxo Phase 3) et s’apprête à casser sa tirelire pour acquérir un véhicule neuf ou quasi-neuf, son attention est, au détour d’une balade dominicale, immédiatement attirée par une Alfa Romeo MiTo blanche, version restylée à calandre noire en nid d’abeilles, avec seulement 100 km au compteur, exposée devant une concession FIAT-ALFA-JEEP des Yvelines. Essai est pris mais le coup de foudre est déjà pour lui, comme pour moi, présent. Il la veut, nous la voulons. Nous la prenons. Montez à bord, le voyage commence…

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Le style ? On ne s’en lasse toujours pas !

Le style de la MiTo, c’est un style unique. Le coup de crayon est superbe. A l’avant d’abord, les feux ronds à dominante gris foncé sont superbes. Alliés à la calandre en V si caractéristique de la marque, noire en nid d’abeilles pour ce modèle de juin 2016 qui a alors 6 mois et seulement 100 km au compteur quand nous l’acquérons en décembre de la même année, cela fournit un aspect racé et très élégant, qui se distingue sans peine des déplaçoirs franco-allemands sans âme. La MiTo, on la voit, on la reconnait, elle nous attire et nous charme parce qu’elle est différente. Elle est italienne et cela veut tout dire pour moi.

De même, des petits détails ajoutent à l’élégance naturelle de ce modèle. Des détails qui nous auront fait craqué sur ce véhicule là précisément : les jantes alu 16″ à nombreux rayons, loin des jantes sport qui ne nous convenaient pas, ou les rétroviseurs chromés qui contrastent avec la carrosserie. Sans compter la plaque déportée sur le côté qui fait si Alfa ou encore la couleur blanche, sans sombrer dans le crème de certains autres modèles. Là, c’est du bianco Alfa. C’est aussi, pour terminer, le nouveau logo, moins coloré et plus élégant inauguré il y a peu par Alfa Romeo.

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Vue de côté, son allure ramassée et compacte, tout en sportivité mais tout en en suggéré, nous charment toujours autant. Une oeuvre d’art n’a pas besoin d’artifice pour subjuguer, elle se suffit à elle-même… Les vitres sans encadrement font toujours leur petit effet, si ce n’est sur les autres, du moins sur nous et c’est bien le principal. C’est classe, c’est sportif, c’est Alfa.

A l’arrière, les petits feux ronds à LED sont toujours aussi intemporels. La belle a 10 ans de conception dans les jantes mais elle n’a pas pris une ride… Le cerclage chromé des feux, identique à l’avant, ajoute à la délicatesse de l’ensemble. Que je la redécouvre dans mon garage tous feux allumés, en pleine campagne normande ou en milieu urbain, comme vous pouvez le voir ci-dessous, elle se distingue toujours autant par la finesse de ses traits et sa ligne sculpturale, sous tous les angles.

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Encore aujourd’hui, 18 mois après le début de la possession et alors que d’aucuns se lassent vite de leur véhicule, nous, quand nous la retrouvons, sur un parking par temps de pluie ou dans une clairière après une balade en amoureux par un beau soleil de printemps, qu’elle soit au milieu de la foule des autres véhicules ou seule, dans la nature, exposée telle une statue grecque, nous nous exclamons toujours autant « qu’est-ce qu’elle est belle ! » C’est instinctif, c’est passionnel. On  ne s’en lasse pas. Oui, notre MiTo, nous la trouvons toujours aussi bellissima qu’au début !

A l’intérieur ?  C’est chouette (malgré quelques défauts…)

Grimpez avec moi à l’intérieur.

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Quand nous l’avons acheté en décembre 2016, nous avons tout de suite apprécié la qualité de l’ensemble. Il faut dire que l’on sortait d’une Saxo de 15 ans d’âge qui, malgré sa vaillance et les bons souvenirs que nous en gardons, n’a pas les moyens de rivaliser. Dans la Mito, ce qui a prédominé dès le début, c’est le sentiment d’être enveloppé. On se sent lové dans un cocon où tout parait rembourré, au point qu’on a l’impression que la vitre avant se trouve à 4 mètres ! Le design intérieur nous a séduits et la qualité des matériaux nous paraît toujours bonne.


sous tous les angles
A ce sujet, pour être monté dans une Audi A1, j’aimerais faire passer un message aux essayeurs automobiles que je respecte pourtant beaucoup : cessez avec votre qualité de fabrication allemande car, sans aucune mauvaise foi (je l’assure !) la qualité de fabrication d’une A1 ne m’a pas pas paru supérieure à celle de notre MiTo. Si la précision des assemblages peut être mise à l’avantage de l’Allemande (mais la différence est millimétrique), c’est surtout le fait de proposer des matériaux uniformes qui participe au sentiment de qualité visuelle, là où l’Alfa utilise différents matériaux qui peuvent laisser penser à un aspect patchwork. Quant aux plastiques de l’A1, ils sonnent durs et creux en dehors du visuel de la planche de bord. Là aussi, mieux vaut ne pas regarder dans les coins. Alors, la MiTo a-t-elle a rougir ? Selon moi, non. Intrinsèquement, non.

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Mais l’A1 n’est pas le sujet de notre article alors revenons-en à notre milanaise. L’aspect moussé du dessus de la planche de bord, en forme de vague et qui rejoint la console centrale, reste toujours très agréable et se trouve assez insensible aux rayures (nous faisons de toute façon plutôt attention). De même sur les contre-portes. Les aérateurs ronds, au nombre de 4, sont très Alfa dans leur dessin et le nouveau volant rappelle dans son style la calandre en V typique de la marque. C’est très joli.

La MiTo que nous avons est une finition Super bien pourvue. Elle possède ainsi de nombreux équipements très utiles comme la radio CD MP3 avec prise USB et Aux. à 6 HP, les commandes de radio au volant, l’écran tactile, l’aide au démarrage en côte, le radar de recul, les rétros électriques dégivrants, la climatisation automatique bizone, les sièges avant réglables au niveau des lombaires, les vitres électriques, le volant en cuir, une foultitude d’airbags, dont un pour les genoux du conducteur, l’ESP, les antibrouillards, les phares et essuie-glaces automatiques, les capteurs de ceinture de sécurité, l’échappement chromé…

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D’autres nous servent moins comme le système Stop&Start dont mon compagnon n’est pas fan (il trouve que cela nuit plus au moteur que cela n’aide à la consommation), le régulateur de vitesse (il l’enclenche peu et préfère rouler en dirigeant tout lui-même). Et oui, une Alfa, ça se pilote ! De même nous n’avons jamais utilisé un seul CD, notre musique passant par MP3 et prise USB.

Enfin, quelques détails sympathiques comme le rappel en couleur du logo Alfa Romeo sur le tapis de siège du conducteur ou le nom de la marque sur la console centrale, au-dessus de l’écran tactile ou sur les bas de portes.

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Les sièges, quant à eux, enveloppent bienen particulier au niveau du bassin mais mon compagnon trouve l’assise un peu trop courte, ce qui est fatigant pour les longs trajets. La position de conduite est trouvée facilement. Moi qui ne l’ai que peu conduite (la caractéristique de nombreux Franciliens dotés du papier rose mais qui n’utilisent que les transports en commun, ce qui m’a malheureusement conduit à ne quasiment plus toucher à un volant), j’ai trouvé, quand je me suis retrouvé derrière le cerceau, que la position de conduite était facile à trouver.

En revanche, comme passager, ce que je suis 99% du temps, je trouve les contre-portes mal fichues. Poser son bras sur l’accoudoir de la contre-porte ne me sert pas beaucoup, c’est trop bas ! Le poser sur le haut de la portière près de la vitre est un supplice, la faute à une ligne de caisse très haute, parfaite pour le design, mais torture à l’intérieur, où caser son bras droit de passager est un casse-tête. Du coup, je préfère poser le bras… gauche sur l’accoudoir central ! Sans gêner le conducteur bien sûr… De même les portières, grandes et lourdes, sont difficiles à manoeuvrer et l’amplitude pour les stabiliser est mal dosée. Légèrement garés en pente, vous vous prenez sans peine la portière qui retombe sur la jambe quand vous descendez ! Gare aux bleus !

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Un petit mot sur l’écran tactile qui gère de nombreuses fonctions. Il est en couleur pour l’apparition du logo mais en noir et blanc le reste du temps, avec quelques détails rouges. Peu dérangeant mais cela peut paraître désuet pour certains technophiles. Appréhender les stations de radio et certaines autres options du menu est assez simple d’après le conducteur en lice. Personnellement, je m’occupe plutôt de la musique par MP3 et prise USB. Le son est bon et les commandes sont assez intuitives. Plus pénible, le temps de détection de la connexion USB, qui prend parfois près d’une minute et laisse l’écran tourner dans le vide. Cela manque de rapidité. De même, quand je suis dans des sous-menus voire des sous-sous-menus de dossiers de musique, il est parfois obligatoire de revenir aux dossiers principaux car la touche revenir une seule fois en arrière n’est pas toujours possible. Un détail souvent agaçant !

Une petite note sur la vie à l’arrière tout de même. Pour y être monté, on s’y sent bien aussi mais les claustrophobes ne sont alors pas nos amis car on s’y sent confiné par le caractère imposant des sièges avant et la taille réduite des vitres latérales alliée à une absence d’ouverture, même par compas. Mais l’accès demeure aisé. Ma grand-mère de près de 80 ans est facilement à l’arrière et n’a pas souffert d’un sentiment d’engoncement quelconque. L’espace aux jambes reste très correct et la largeur aux coudes suffisante. Malgré tout, la MiTo reste une voiture pensée en priorité pour 2, installés à l’avant, où l’espace ne manque pas. Les contreportes offrent des rangements appréciables, bien que peu larges, ainsi que l’accoudoir central (qui tombe parfaitement sous le bras) et le bas de la console centrale. Suffisant. Détail cheap, en revanche : la boîte à gants, ridiculement petite, qui ne s’ouvre pas assez à cause des jambes et qui semble, en position fermée, finie à la truelle, épousant mal le reste de la planche de bord.

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Quant au coffre, il embarque nos bagages pour un week-end ou pour les vacances. Il cube 270 l, une valeur honorable (davantage qu’une Mini, un peu moins qu’une 208. A titre de comparaison, la Clio cube 300l.) En revanche, rançon de son style, il prend une forme de puits avec un seuil de chargement haut perché. Gare aux lombaires en cas de bagages lourds à décharger et gare à ne pas rayer la carrosserie non plus. Assez dommageable, la banquette est monobloc. Bon, pour le peu de fois où l’on a du replier les sièges arrière, toute la banquette y est passée et si les sièges avaient été fractionnables, on les aurait tous repliés de la même manière. Mais, au moins, des sièges 60/40 ou 40/20/40 laissent des possibilités que nous n’avons, là, tout simplement pas.

Moteur ? Ca tourne !

Notre MiTo finition Super de juin 2016 est équipée d’un moteur 1.4 MPI de 78 ch. Je sens déjà pousser les cris d’orfraie de certains. Comment ? Mais quand on a une Alfa, on ne prend pas un moteur d’entrée de gamme ! C’est indigne ! Et on prétend aimer Alfa ! etc etc… Halte ! Plusieurs raisons expliquent ce moteur :

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– Le coup de foudre a été esthétique avant d’être porté sur la puissance.

– Pour le budget que nous avions, le choix était simple : soit une MiTo neuve ou quasi neuve avec ce petit moteur, soit un moteur plus puissant mais avec un véhicule plus kilométré ou tout simplement plus cher à l’achat. Ce qui était impossible.

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– Un moteur plus puissant, bien sûr que c’est bien, mais nous sommes mon compagnon et moi, jeunes. Le banquier n’aurait peut-être pas suivi, l’assureur non plus et le permis peut-être encore moins.

– Pour rouler à 130 km/h sur l’autoroute et à 90 80 sur voie secondaire, c’est bien suffisant. Pour rouler toujours moins au nom de la sacro-sainte mortalité sur route fer de lance des harpies perrichonesques, pour bientôt circuler en trottinette voire carrément en marche arrière (pour faire ressusciter les morts ?), c’est même bien assez !

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Ce 1.4 MPI, justement, que peut-on en dire ?

Tout d’abord, visuellement, la première fois que nous avons ouvert le capot, nous l’avons trouvé tout petit. On aurait presque pu y caser deux moteurs dans le capot tant on avait l’impression qu’il restait de la place. Ah oui, on est loin des gros V6 qui rentrent au cordeau !

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Sur route, il fait le job. Souple, efficace et très alerte, il remplit la fonction. Avec 78 ch, bien sûr, ce n’est pas un foudre de guerre (mon ami dit d’ailleurs que ce sont « davantage 78 poneys que 78 chevaux »). Mais c’est suffisant pour nos vitesses limitées en France et avec une petite tonne sur la balance seulement. En revanche, quand il faut relancer, en pleine cote, pour doubler par exemple, on sent que la diva a du mal à retrouver de l’allant et on se fait vite rattraper par de puissants véhicules arrivant derrière à pleine vitesse. Mais à allure stabilisée, pas de souci. Il faut juste ne pas hésiter à la cravacher de temps en temps.

Sur route, la voiture est plutôt bien insonorisée (même s’il y a plus abouti parmi la concurrence). Si les accélérations ne sont pas foudroyantes, la voiture, en revanche, freine fort. Côté consommations, nous avons démarré à l’achat, avec seulement 100 petits kilomètres au compteur, avec une consommation assez élevée puisque, pour un réservoir de 45L, nous ne faisions que 450 à 500 km. Autant dire que les arrêts à la pompe étaient fréquents et que la miss picolait ! Cela faisait une moyenne de 10L/100 km au début ! Mon ami pestait souvent mais je lui avait dit que le rodage était nécessaire.

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Aujourd’hui, après 30 000 km à son volant (en 18 mois, oui, c’est beaucoup !), nous effectuons jusqu’à 650 km avec un plein. Soit une moyenne de consommation aux alentours de 7L/100 kmA 130 km/h à vitesse stabilisée, nous sommes à 6.3L en moyenne. Malgré le fait que la question du diesel pouvait se poser eu égard au kilométrage parcouru, c’était niet d’avance. Pas de bruit de tracteur agricole digne d’une Peugeot dans notre voiture ! Quitte à passer plus souvent à la pompe. De toute façon, avec le prix plus élevé à l’achat, à l’entretien, les nombreuses pannes dues aux (trop) nombreuses pièces et au vu du scandale du diesel, nous avons bien fait ! Viva Benzina !

Niveau son, au risque de passer pour un fou, elle fait un super bruit ! J’entends déjà les « Quoi, un 78 ch ? La bonne blague ! » Et pourtant, je l’affirme. Elle fait un véritable petit bruit de voiture de rallye, avec un côté pétaradant. Ce qui reste imperceptible à l’intérieur toutes fenêtres fermées, est au contraire très sensible quand on est dehors. Au démarrage, comme lorsqu’on lui fait prendre des tours, elle offre un petit côté digne d’une sportive des années 70 que nous affectionnons tout particulièrement. Ca vrombit légèrement, ça claque à l’échappement. Voyez plutôt la vidéo ci-dessous :https://www.youtube.com/embed/gMl9YHv0Urg?feature=oembed&wmode=opaque

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La vitesse maximale est marquée pour 200 km/h sur le compteur mais sachez que nous ne l’avons monté « que » jusqu’à 175 km/h. Ce qui est déjà prohibé, vous en conviendrez. Mais chut, vous n’avez rien lu !

Dans la vie ordinaire, la petite est maniable et facile à conduire mais gare car sa carrosserie est terriblement exposée ! Elle est sinon confortable dans sa sellerie mais la suspension est un peu sèche sur la bosse et certaines irrégularités se font parfois ressentir. De même on sert les dents (et les fesses !) à l’approche de certains dos d’âne, sans compter que, pris un peu vite, la longue bavette en plastique noir située sous le spoiler avant peut frotter. Douceur et délicatesse !…

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Enfin, la boîte mécanique à 5 rapports remplit sa mission et s’accouple bien avec ce moteur. Elle n’accroche pas et est bien étagée. En revanche, n’espérez pas reprendre tout en bas du compte-tours en 2ème, la MiTo calera ! Ce n’est pas un diesel que diable ! En conduite coulée comme vive, la voiture suit bien sa trajectoire, épouse la route, en ligne droite comme sur parcours sinueux, et s’avère toujours sécurisanteLe train avant reste lourd quand l’arrière, lui, suit sans broncher. En entrée de rond-point pris un peu vite, les pneus restent rivés au bitume. N’espérez pas les faire chanter ni faire dériver l’arrière, la voiture reste scotchée, même si le train avant a tendance à élargir un peu la trajectoire.

Bilan

Au final, après 18 mois à la posséder, force est de constater que nous aimons notre MiTo. Nous y sommes attachés. Elle est belle et désirable. On sent qu’elle est regardée à son passage. Essayez avec une C3 pour voir !

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Certes elle n’est pas la plus technophile ni la plus puissante ni la plus efficace mais elle est très bien équipée, suffisante aux allures réglementaires, confortable et sécurisante.

Surtout, elle a ce petit « + » que n’auront jamais les autres, aussi brillantes soient-elles : elle est belle, définitivement belle. C’est une italienne, une voiture avec une âme et un coeur. On perçoit parfois cette petite étincelle dans son regard. On s’y attache, on fait corps avec elle. Même la petite peluche qui lui tient compagnie sur la plage arrière, oeil noir et robe blanche, tient à lui ressembler, c’est dire…

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Notre MiTo, on l’aime pour ses qualités comme ses (petits) défauts. Notre MiTo, elle est tout simplement Alfabuleuse !

Un commentaire

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  1. Excellente voiture et excellents souvenirs à bord d’une version QV 2010, avec suspension active.
    Voiture familiale, 2 adultes, 2 enfants, un chien, et oui je n’aime pas les berlines, encore moins les suv, trouve les grandes voitures inutiles 355 jours par an.
    Même avis pour la comparaison avec l’A1, une de mes tantes en possède une, j’ai explosé de rire en rentrant à l’intérieur. C’est quoi se délire sur la finition premium !
    Le coffre, j’adore, c’est profond et on peut le bourrer à fond ! Aucun espace de perdu, ce qui ne pas le cas avec les seuils de chargement bas, ou tous deguellent et ces cassent la gueule ! Et en plus, ça fait de l’exercice de se bouger un peu !
    Mais bon, fin de l’aventure ALFA, merci à cette andouille de Marchionne d’avoir foutu en l’air une gamme, en stoppant brutalement les Brera, 159, Gt, en stoppant les développements des giulietta, Mito, en étant incapable de faire évoluer la 4C.
    Écœurant ce qui arrive à cette marque après Lancia, Alfa sera la suivante à disparaître. C’est pas les deux futurs suv qui vont se battre en duel au milieu de hall d’exposition envahie nt de fiat, de jeep, d’abarth, et pourquoi pas de DS que cette marque va retrouver un semblant de crédibilité. C’est plié !

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