Depuis l’arrivée du nouveau CEO d’Alfa Romeo, c’est devenu une habitude presque mensuelle : la marque communique régulièrement sur les performances commerciales de son dernier modèle, l’Alfa Romeo Junior. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la dynamique est toujours positive.
Il y a quelques jours, nous révélions en exclusivité sur Italpassion que la marque progressait de 20 % en immatriculations par rapport à l’année précédente, un rebond largement porté par le nouveau BSUV Junior. Ce modèle représente désormais entre 50 et 71 % des immatriculations de la marque, selon les pays. Un signe d’un vrai succès commercial à l’échelle européenne.
Et cette tendance semble se confirmer. Le 9 juin 2025, Alfa Romeo a annoncé avoir dépassé les 40 000 commandes pour le Junior. Un cap symbolique qui confirme l’élan amorcé à l’automne 2024. Selon nos estimations, cela représente environ 25 000 commandes sur les 6 derniers mois, soit une cadence qui pourrait amener le Junior à 50 000 commandes par an si le rythme se maintient.
Un chiffre encourageant, mais qui devra tenir sur la durée. Le cas du Tonale (et de son cousin américain, le Dodge Hornet) rappelle que les débuts prometteurs ne garantissent pas toujours une réussite sur le long terme : 20 000 unités produites en 2022, un pic à 82 000 en 2023, puis une chute à 36 000 en 2024…
Côté immatriculations, les données confirment la bonne réception du Junior. En se concentrant sur quatre marchés clés – Italie, France, Allemagne et Espagne – on dénombre 12 256 unités immatriculées depuis le début de l’année, soit une moyenne de 2 000 à 3 000 véhicules par mois. Une performance honorable pour un modèle encore jeune, sur un segment particulièrement concurrentiel.
Il convient néanmoins de rappeler que les chiffres de commandes, de production et d’immatriculations ne sont pas équivalents. À ce jour, aucune donnée officielle sur la production à l’usine de Tychy n’a été communiquée.
En résumé, l’Alfa Romeo Junior démarre bien. Avec un rythme soutenu de commandes, une part importante dans les immatriculations de la marque, le Junior est devenu le pilier du renouveau Alfa Romeo. À condition que la dynamique perdure au-delà de l’effet nouveauté. Dommage que, comme c’est le cas depuis plus d’une décennie, la survie de la marque ne repose à chaque fois que sur un ou deux modèles.
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C’est l’éternel problème, avec une gamme rachitique et un plan produit sans cesse modifié : les vases communicants. Un modèle arrive et booste les ventes, mais d’autres s’effondrent. Ainsi, on n’arrive jamais à franchir les 100.000 ventes…
Im November bestellt im März hätte er kommen sollen und bis heute nicht da .
Das macht keinen Spaß
Trop drôle de voir que l’avenir de la marque repose maintenant sur le succès ( relatif , 40000 par an c’est rien d’énorme) d’un Peugeot remaquillé lourdement. Idem pour Lancia d’ailleurs ( la c’était même pas la peine vu le résultat).
Il est où le problème ? Après tout les précédents modèles d’Alfa Romeo étaient basés sur des Fiat.
50.000 commandes pour sa première année de commercialisation ? Soit deux fois moins que la 156 en son temps… C’est famélique.
Vielleicht versucht man es mal mit interessanteren Motoren im Laufe der Zeit. Ein kleiner Diesel oder ein schöner 200 PS Benziner halten das Interesse hoch. Mit diesem langweiligen 136 PS Motor könnte man mich nicht locken.
passé deux jours a ROME en Avril.Je n ‘ai vu que 2 Juniors et pourtant j ai beaucoup marché dans la ville!
Da hast du völlig recht. Ich glaube nicht, dass es neue Motoren geben wird. Und ein Sechszylinder-Diesel fehlt noch immer im Programm. Danke scheisse Stellantis!