
Acheter une Lamborghini Huracan d’occasion est un rêve qui peut devenir réalité. Mais lorsqu’un problème mécanique survient, la tentation de « bricoler soi-même » pour économiser sur la main-d’œuvre peut rapidement virer au cauchemar. C’est exactement ce qu’a vécu le propriétaire d’une Huracan V10, passée entre les mains de l’atelier américain DC Motorworks après une tentative de réparation… désastreuse.
Un peu trop de silicone…
Tout commence lorsqu’un problème de soupape survient peu après l’achat du véhicule. Le propriétaire, pensant bien faire, démonte la culasse avec un ami, la fait réparer, puis tente de tout remonter… dans son garage. Mais au démarrage, quelque chose cloche. Il insiste, recommence, sans succès : il faut confier la voiture à des professionnels.

Chez DC Motorworks, le diagnostic tombe très vite : le moteur est gravement endommagé, principalement à cause d’une utilisation excessive de silicone de joint de culasse. Résultat ? Les canaux d’huile sont obstrués et elle ne circule plus, les arbres à cames sont rongés… et toute la culasse est endommagée.
Erreur classique… mais fatale
Sur les moteurs, chaque détail compte. La quantité de silicone, la façon dont il est appliqué, le serrage des boulons, la position exacte de la distribution… Rien ne peut être improvisé. Sur cette Huracan, le calage de la distribution était décalé de 90°, les vis de variateur de phase mal serrées, et les joints posés sans respecter les guides constructeur.

Le pire ? Aucun des roulements d’arbre à cames n’est remplaçable : l’ensemble est usiné d’usine. Impossible donc de réparer. Quand c’est abîmé… c’est poubelle.
La facture est salée
Entre le remplacement de la culasse, des arbres à cames, du support de distribution, les nombreuses heures de démontage, de contrôle, de remontage et de tests, la facture flirte avec les 20 000 $.


Le propriétaire, qui espérait économiser quelques milliers de dollars en bricolant lui-même, se retrouve avec une addition encore plus salée que prévue. Heureusement pour lui, le V10 est désormais réglé aux petits oignons, tourne parfaitement… et rugit comme au premier jour.
Si vous rêvez d’une Huracan, assurez-vous d’avoir à vos côtés un vrai spécialiste. Sinon, le rêve italien peut vite se transformer… en cauchemar mécanique.


Aua Aua das der Typ Null Ahnung von Motoren hat ist klar und dann an ein Lamborghini Motor bei gehen Aua.
Ölkanäle verklebt, Ventile 90c versetzt usw also jeder Erfahrender Mechaniker weiß das man mit bedacht ein Motor dichtet kennt das Abzugsdiagramm usw.
Ja schön viel Lehrgeld gezahlt……